Que retenir de ce texte : Retrouvailles au tribunal pour Trump et Michael Cohen, son ancien «pitbull» désormais ennemi

Nous dévoilons un nouvel éditorial qui va parachever notre revue de presse sur « la justice ».

Son titre (Retrouvailles au tribunal pour Trump et Michael Cohen, son ancien «pitbull» désormais ennemi) parle de lui-même.

Sachez que l’auteur (présenté sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez en conséquence faire confiance à cette information.

Sachez que la date d’édition est 2023-10-24 13:33:00.

L’article source en question :

Dans cette affaire, la procureure générale de l’État de New York, Letitia James, accuse Donald Trump, 77 ans, deux de ses enfants, Eric et Donald Jr, et deux dirigeants de la Trump Organization, d’avoir surévalué de plusieurs milliards de dollars ses golfs, résidences et gratte-ciel new-yorkais dans les années 2010 pour obtenir des prêts plus avantageux auprès des banques.

Cheveux grisonnants, chemise blanche et veste sombre à petits carreaux, Michael Cohen, qui répondait aux questions de la représentante du parquet général sans regarder Donald Trump, a rapidement chargé son ancien patron. « J’étais chargé par M. Trump d’augmenter la valeur du patrimoine, sur la base d’un chiffre qu’il fixait arbitrairement », a-t-il déclaré. « Ma responsabilité, avec Allen Weisselberg, c’était de faire de la rétro-ingénierie sur les actifs et de les augmenter afin d’atteindre le chiffre […], quel que soit le chiffre demandé », a-t-il ajouté.

« C’est un menteur. Il essaie d’arranger ses affaires, mais ça ne va pas marcher », avait attaqué, un peu plus tôt, Donald Trump, à son arrivée au tribunal de Manhattan, une référence à la condamnation de Michael Cohen, pour mensonge, devant le Congrès américain, dans le cadre de l’enquête sur une ingérence russe durant la présidentielle de 2016.

Bibliographie :

Droit administratif. 2e édition,A voir et à lire. .

L’indépendance de la justice,Ouvrage .

Saint Louis,(la couverture) . Disponible à l’achat sur les plateformes Amazon, Fnac, Cultura ….

Retour sur l’édito : Avocat collaborateur (H/F) en droit privé général à Saint-pierre (Ile de la Reunion)

Cet encart de quelques lignes ayant pour thématique « la justice » circule sur internet, nous avons voulu vous le signaler ci-après.

Le titre suggestif (Avocat collaborateur (H/F) en droit privé général à Saint-pierre (Ile de la Reunion)) synthétise tout le texte.

Le journaliste (identifié sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez de ce fait donner du crédit à cette actualité.

SAINT PIERRE (REUNION)

La SELARL GAELLE JAFFRE-MIKAEL YACOUBI, ayant une activité dominante en contentieux civil et commercial, recherche un(e) avocat(e) junior en droit privé général (droit des affaires, droit bancaire, droit des assurances, droit civil, droit de la construction).

L’équipe du cabinet est actuellement composée de deux avocats, une juriste et trois secrétaires. 

Profil recherché : avocat(e) titulaire d’un Masteur 2 en droit privé ou d’un DJCE, autonome et rigoureus(e). 

Le collaborateur ou la collaboratrice recruté(e) sera amené(e) à recevoir les clients en rendez-vous, à rédiger des assignations, des conclusions, des protocoles transactionnels, à assister aux audiences et à suivre les procédures devant les juridictions civiles et commerciales.

Publications:

Droit pénal comparé,Le livre .

Les Stoïciens : Épictète Le poignard à la main,(la couverture) .

The Green River Killer,(la couverture) .

Article tout frais : 1984, la BO d’Elvis, Il était une fois en Amérique… Les choix culturels de Jean-Michel Fleurier, avocat

Dans le cadre de notre objectif d’information, nous publions ci-dessous un post vu sur internet aujourd’hui. La thématique est «la justice».

Son titre saisissant (1984, la BO d’Elvis, Il était une fois en Amérique… Les choix culturels de Jean-Michel Fleurier, avocat) est sans ambiguïté.

Identifié sous le nom «d’anonymat
», l’éditorialiste est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Il n’y a pas de raison de ne pas croire de la fiabilité de ces révélations.

La date de publication est 2023-10-22 05:04:00.

Un père prof d’allemand et une mère prof d’espagnol n’ont pas fait de Jean-Michel Fleurier un enseignant. Il a préféré la robe noire et aime se balader en moto tout en touchant au touch rugby.

Livre. « J’ai lu 1984 d’Orwell, ado, au lycée, en anglais. J’étais dans une classe bilingue à Marguerite de Navarre. On a travaillé toute l’année dessus. C’est terrifiant, visionnaire avec le Big Brother is watching you. On n’est pas à l’abri que cela nous tombe dessus. Je me souviens du film et de la bande originale d’Eurythmics. J’ai relu le livre quand j’étais étudiant, à Tours, mais cette fois en français.

Ce propos apporte des réponses à vos questions vous apprécierez aussi ces publications :

Au guet-apens,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

La Justice/Veille III,Ouvrage .

Valeurs et justice,Clicker Ici .

Sur le web : Agen : Ils manifestaient depuis juin, les greffiers du tribunal désormais interdits de rassemblement

Voici un tout nouvel éditorial qui va parachever notre revue de presse sur « la justice ».

Le titre troublant (Agen : Ils manifestaient depuis juin, les greffiers du tribunal désormais interdits de rassemblement) en dit long.

Identifié sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu.

Vous pouvez par conséquent faire confiance à cette édition.

L’encart a été publié à une date notée 2023-10-21 11:39:00.

Voilà ll’article dont il s’agit :

l’essentiel
Le Vigipirate renforcé les oblige à renoncer, pour un temps.

Sans réellement obtenir d’avancées pour leurs revendications, les personnels de greffe se rassemblent depuis la fin juin sur les marches du palais de justice pour symboliser que leur mouvement continue.
L’imparfait est désormais de rigueur car ils se retrouvent contraints de respecter une note de service signée du président du tribunal judiciaire, du procureur de la République et du directeur de greffe. Depuis le 17 octobre date de la missive envoyée par courriel, interdiction du rassemblement quotidien, sous prétexte de l’élévation de Vigipirate au niveau «urgences attentat.»
Dans ce contexte, écrivent les trois signataires, «des mesures renforcées de sécurité sont indispensables. Parmi celle-ci, la limitation des situations de risque et de cible rend impossible que soient maintenues les manifestations quotidiennes.» La note de service est restée en travers de la gorge des responsables du mouvement. Ils rappellent à toutes fins utiles que les tribunaux de proximité de Villeneuve et de Marmande ne bénéficient pas de telles mesures de protection alors que ces lieux accueillent également les justiciables et le public.

Parutions sur le même thème:

Dictionnaire des proverbes (Quitard)/justice,Le livre . Ouvrage de référence.

Les grands arrêts du droit pénal général,Le livre .

Séries télé : visions de la justice,Clicker Ici . Disponible dans toutes les bonnes bibliothèques de votre département.

L’OFSI modifie la licence générale de Companies House

Hier, l’OFSI a modifié la licence générale INT/2023/3626884, qui autorise les paiements autorisés à Companies House, en modifiant la définition de « paiements autorisés » pour inclure « le paiement des pénalités de retard pour dépôt dues par ou dues par les PD britanniques à Companies House comme « le résultat du dépôt tardif des comptes annuels par ces PD britanniques » plutôt que du dépôt tardif de « la déclaration de confirmation » (avis).

Retour sur l’édito : au tribunal, des souvenirs mais peu de traces du travail demandé

Notre staff va mettre en pleine lumière ce post qui vient d’être publié, dont la thématique est «la justice».

Son titre saisissant (au tribunal, des souvenirs mais peu de traces du travail demandé) en dit long.

Présenté sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Il n’y a aucune raison de douter du sérieux de ces révélations.

Texte original :

Paris (AFP) – S’il existait des preuves du travail demandé, « tout a été détruit quand j’ai déménagé du Parlement » européen, a regretté mercredi, au procès des assistants parlementaires du MoDem, une ancienne eurodéputée soupçonnée d’avoir endossé cet emploi au profit de son parti.

Jusqu’au 15 novembre, François Bayrou et dix cadres et élus centristes sont jugés à Paris, soupçonnés d’avoir rémunéré, entre 2005 et 2017 et grâce à des fonds européens, des assistants parlementaires qui travaillaient en fait pour l’UDF puis le MoDem.

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Députée européenne entre 2004 et 2009, Anne Laperrouze, 64 ans, désormais retraitée, a été interrogée au troisième jour du procès sur l’une de ses assistantes, embauchée en CDI entre 2008 et la fin de son mandat au Parlement pour une rémunération totale de 58.436 euros.

Recrutée sans entretien d’embauche, elle était chargée de « trouver des salles, des conférenciers, établir des communiqués de presse ou des rapports de réunion », se souvient l’ancienne maire de Puylaurens (Tarn), qui avait entendu parler, au sein du parti, de son « profil expérimenté sur le secrétariat ».

Or, durant l’enquête, cette collaboratrice a affirmé n’avoir jamais travaillé sous les ordres de l’eurodéputée – qu’elle croisait « de temps en temps au siège du parti » – mais « quasiment exclusivement » pour l’UDF/MoDem, où elle exerçait d’ailleurs au même moment en tant qu’assistante de direction auprès de François Bayrou.

Me Myriam Mayel, avocate de la défense, a précisé à l’audience que sa charge horaire pour cette fonction, qu’elle exerçait normalement à plein temps, avait été réduite sur la période où elle était l’assistante parlementaire de Mme Laperrouze.

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Entre les deux femmes, il n’y a jamais eu réunion, ni d’échange direct. Tout était piloté à Paris par Marielle de Sarnez, bras droit de François Bayrou, selon l’eurodéputée.

« Si la réunion démarrait à l’heure, avec les invités présents, ça voulait dire que le travail en amont avait bien été fait », a-t-elle avancé, ne pouvant toutefois apporter des documents à l’appui, format papier ou mails, « détruits » après son départ du Parlement européen.

– « Très heureuse de l’expérience » –

Bernard Lehideux, eurodéputé de 1998 à 1999 puis de 2004 à 2009, est également soupçonné d’avoir embauché entre 2005 et 2007 en CDD cette même assistante parlementaire (qui là aussi nie avoir exercé cette fonction), ainsi que deux autres en CDI pour un montant total de 70.147 euros.

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L’une d’entre elles était une jeune militante de l’UDF, « sympathique et pleine d’énergie », s’est-il souvenu mercredi à la barre.

La lettre de démission de cette dernière, en 2007, mentionnait: « Je suis très heureuse de l’expérience professionnelle vécue à vos côtés », a rappelé le président à l’audience. Pourtant, selon les éléments de l’enquête, rien dans son ordinateur n’a pu témoigner d’une activité parlementaire auprès de M. Lehideux.

Elle a par ailleurs confié n’en n’avoir « pas le souvenir ». Sur cette période, elle disait s’être essentiellement chargée de l’organisation des colloques de François Bayrou, puis s’être investie dans la campagne présidentielle de l’actuel maire de Pau.

Avant d’être embauchée, la troisième collaboratrice avait fait l’objet d’un échange par mail au sein du parti, lequel a été projeté sur grand écran dans la salle du tribunal.

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Dans ce courriel était écrit: « Merci d’établir un contrat sur une des enveloppes disponibles d’un parlementaire européen pour (cette femme), pour un montant de 500 euros net ».

Au cours de l’enquête, le juge a estimé que le parti avait souhaité « trouver un budget disponible » pour l’assistante recrutée.

Ce que Bernard Lehideux réfute. Il dit l’avoir personnellement sollicitée « pour sa plume », ajoutant: « Je suis un vieux briscard à qui on ne donne pas d’ordre ».

A lire sur un objet équivalent:

Droit de l’administration publique/La notion de responsabilité administrative,A voir et à lire. .

La question de la justice chez Jacques Derrida,A voir et à lire. . Disponible sur internet.

Philosophie/Manuel de terminale,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Op-Ed : « L’interaction entre le code frontières Schengen et la directive retour – un autre épisode de la saga de la réintroduction des contrôles aux frontières intérieures – C-143/22, ADDE et autres » par Madalina Moraru

Op-Ed : « L’interaction entre le code frontières Schengen et la directive retour – un autre épisode de la saga de la réintroduction des contrôles aux frontières intérieures – C-143/22, ADDE et autres » par Madalina Moraru – EU Law Live

Claudia Del Olmo

18 octobre 2023

COVID-19[feminineEmploi et immigration Droits humains

Op-Ed : « L’interaction entre le code frontières Schengen et la directive retour – un autre épisode de la saga de la réintroduction des contrôles aux frontières intérieures – C-143/22, ADDE et autres» par Madalina Moraru

Cette affaire est la dernière d’une série d’affaires (Affum et Arib) émanant de France concernant l’interaction complexe entre le code frontières Schengen (CFS) et la directive retour dans le contexte d’un État membre réintroduisant des contrôles aux frontières intérieures de Schengen en raison de à des menaces graves pour l’ordre public ou la sécurité intérieure. En particulier, la Cour de justice de l’UE a été invitée à clarifier davantage la portée des dérogations autorisées aux États membres en vertu de l’article 2, paragraphe 2, point a), première phrase de la directive retour. Selon cette disposition, les États membres sont autorisés à ne pas appliquer les étapes procédurales et les garanties de la directive retour en faveur d’une procédure nationale de retour simplifiée et accélérée si le

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Sur internet : Beau mec, Enedis au tribunal, ingénieurs… les infos du lundi 16 octobre à Caen

Sur-internet-Beau-mec-Enedis-au-tribunal-ingenieurs-les

En explorant le web notre équipe a trouvé un encart qui va vous ravir. Sa thématique est « la justice ».

Son titre (Beau mec, Enedis au tribunal, ingénieurs… les infos du lundi 16 octobre à Caen) synthétise tout l’article.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur le web.

Les informations concernées sont ainsi perçues crédibles.

L’article dont il s’agit :

Voir mon actu
Une perspective aérienne de Builders Caen après son agrandissement.
Une perspective aérienne de l’école Builders Caen après son agrandissement. ©L2 Architectes

Déviation Bellengreville-Vimont : la dernière phase des travaux commence pour la quatre voies

Lundi 16 octobre 2023 commence la troisième et dernière phase du chantier d’une nouvelle quatre voies à l’est de Caen, entre Bellengreville et Vimont.

Grave accident du travail dans l’agglo de Caen : l’entreprise Enedis au tribunal

À Bretteville-sur-Odon (Calvados), en juillet 2018, un accident du travail a coûté la mobilité de sa main droite à un employé de l’entreprise Enedis.

Périphérique de Caen : un accident et deux bouchons

La circulation est difficile sur le périphérique de Caen lundi 16 octobre 2023.

Le plus bel homme de Normandie a été désigné : Lucas Girard qualifié pour Mister France
La Normandie a élu son représentant pour la finale nationale de Mister France. Lucas Girard est devenu Mister Normandie 2023, ce samedi 14 octobre à Caen.

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Une école d’ingénieurs voit grand à Caen : elle veut accueillir 1 000 étudiants

Builders, l’école d’ingénieurs de la construction à Caen (Calvados), a dévoilé son projet d’agrandissement à 15 M €. En 2026, l’ex-Esitc pourrait compter un millier d’élèves.

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Bibliographie :

Droit administratif. 2e édition,A voir et à lire. .

L’égalité en matière pénale,(la couverture) . Disponible à l’achat sur les plateformes Amazon, Fnac, Cultura ….

Néerlandais/Pour traducteurs/La ville (utilisateurs avancés),Le livre . Ouvrage de référence.

A connaître : Tribunal correctionnel de Basse-Terre : Dernières heures du procès d’Ary Chalus

Nous présentons un tout nouvel article qui va allonger notre revue de presse sur « la justice ».

Son titre suggestif (Tribunal correctionnel de Basse-Terre : Dernières heures du procès d’Ary Chalus) est sans confusion.

Annoncé sous la signature «d’anonymat
», l’auteur est connu et fiable pour d’autres papiers qu’il a publiés sur le web.

Il n’y a pas de raison de douter du sérieux de ces révélations.

L’article a été publié à une date notée 2023-10-13 17:14:00.

Entre réquisitoire et plaidoiries, Ary Chalus a vu défilé aujourd’hui tous les aspects de l’affaire qui lui vaut de comparaître devant le tribunal correctionnel de Basse-Terre depuis ce jeudi. Si ce vendredi matin l’avocate de la partie civile a demandé une peine d’inéligibilité à son encontre, Xavier Sicot le procureur de Basse Terre n’a pas requis en ce sens estimant que la quasi totalité des faits reprochés sont antérieurs à la loi du 15 septembre 2017 qui prévoit expressément 3 ans de prison et 5 ans d’inéligibilité pour de tels faits.


Cette deuxième et dernière journée d’audience a été marquée par les dires et les effets de manches de toutes les robes noires présentes dans la salle.

Les parties civiles ont été les premières à plaider. Me Dousselin a qualifié Ary Chalus, d’omnipotent qui ne sait rien, qui n’entend rien et qui ne voit rien. L’avocate du parti socialiste a alors demandé que le tribunal prononce une peine d’inéligibilité à l’encontre de l’actuel président du Conseil régional.

Xavier Sicot, lui, s’est montré beaucoup plus posé dans son réquisitoire. Le procureur de la république de Basse-Terre a demandé à l’encontre d’Ary Chalus 1 an de prison avec sursis, 10 000 euros d’amende et 3 ans d’interdiction d’activité sociale. Pour le ministère public, il faut en effet tenir compte du fait que la quasi-totalité des éléments reprochés sont antérieurs à la loi du 15 septembre 2017, dite loi sur la confiance dans la vie politique. Or c’est ce texte qui prévoit expressément 3 ans de prison et 5 ans d’inéligibilité.

Et puis est venu le temps des plaidoiries de la défense. Seul Me Jean-Marie s’est démarqué de ses confrères qui ont certes plaidé la relaxe de leur client mais également celle d’Ary Chalus, innocent, à leurs yeux.

Enfin, pour conclure; cela a été le tour de la défense d’Ary Chalus. Si Me Henon a soutenu que les faits n’étaient pas juridiquement constitués, Me Samper est en train de démonter depuis près d’une heure l’enquête réalisée par la brigade financière de la police judiciaire. Un travail bâclé, du grand n’importe quoi réalisé par des policiers incompétents.

Dans la salle, personne ne dit mot.

Ce thème apporte des réponses à vos recherches vous adorerez pareillement ces ouvrages:

Des délits et des peines,Le livre . Ouvrage de référence.

L’idée de justice,Clicker Ici .

Réformer le droit des mineurs délinquants,A voir et à lire. .

Sur internet : Justice : complice d’un violent home jacking à Jumièges, il reste en prison

Fidèle à sa vocation, ce blog va porter à votre connaissance un article qui a été trouvé sur internet. Le thème est «la justice».

Le titre (Justice : complice d’un violent home jacking à Jumièges, il reste en prison) condense tout l’éditorial.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est connu et fiable pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez ainsi faire confiance aux révélations qu’il édite.

Alors qu’il minimise son rôle dans l’affaire, la justice a estimé que son maintien en détention est « utile à la manifestation de la vérité » et confirme le mandat de dépôt.

A lire sur un propos équivalent:

Entre Bible et Coran/Attributs et noms du Dieu unique,(la couverture) .

La Justice de Dieu qui passe,(la couverture) .

Philosophie/Absolu/relatif,Le livre .