Revue de presse web : « La menace n’a pas été prise au sérieux (…) l’alerte avait été donnée », pour l’avocat de la famille de la jeune fille

Voici un article que je suis heureux de dévoiler ici sur notre site. Le thème est « la justice ».
Le titre troublant (« La menace n’a pas été prise au sérieux (…) l’alerte avait été donnée », pour l’avocat de la famille de la jeune fille) parle de lui-même.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», l’éditorialiste est connu et fiable pour d’autres papiers qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez par conséquent vous fier aux informations qu’il publie.

Texte dont il s’agit :

AFP

Dreux: une femme, un bébé et une adolescente retrouvés morts

Une femme et ses deux enfants ont été retrouvés morts jeudi matin à Dreux (Eure-et-Loir), a-t-on appris auprès du parquet, qui envisage une piste criminelle.Jeudi matin, la mère de famille ne s’est pas présentée à un rendez-vous prévu avec un proche pour aller au garage. Ce dernier a alors alerté les pompiers, qui ont fait la macabre découverte dans un pavillon, a précisé à l’AFP le procureur de la République de Chartres, Frédéric Chevallier.Les secours ont découvert les corps de la femme, née en 1987, et ceux de ses deux enfants, une adolescente de 13 ans (bien une adolescente de 13 ans et non un adolescent de 15 ans comme indiqué dans un premier temps) et un bébé (un garçon) d’environ 18 mois, a ajouté M. Chevallier.Les corps présentaient des plaies, probablement causées par arme blanche, selon le procureur, qui a saisi la direction territoriale de la police judiciaire d’Orléans.L’identification judiciaire était sur place jeudi après-midi pour procéder aux premières constatations.La rue donnant accès au pavillon en briques rouges était barrée par la police, a constaté un journaliste de l’AFP. A ce stade de l’enquête, M. Chevallier a évoqué de possibles « homicides » mais sans pouvoir préciser les circonstances de ces trois décès, notamment si il y a eu ou non l’ »intervention d’un tiers ».Actuellement recherché par les enquêteurs pour être entendu, l’ancien conjoint de la trentenaire avait été condamné en septembre 2021 lors d’une audience de comparution immédiate pour des violences sur celle-ci et sa fille. Il avait écopé d’une peine d’un an de prison, dont quatre mois avec sursis probatoire.A l’issue de sa détention, ses obligations, qui comprenaient notamment l’interdiction d’entrer en contact avec sa conjointe et sa fille, « étaient respectées », selon le procureur.Début 2023, le juge des enfants avait demandé au juge d’application des peines de lever l’interdiction de contact avec sa fille pour mettre en place des visites médiatisées, a-t-il poursuivi.mb-alh-jfm/lg/as

Parutions:

Droit administratif. 2e édition,A voir et à lire. .

Les témoins devant la justice,Le livre .

Presse-justice : liaisons dangereuses,Clicker Ici .