Relecture de l’article : Tribunal : sous stupéfiants, sans attestation de sortie et le téléphone au volant

Voici l’essentiel d’un « papier journalistique » que notre équipe vient de relever sur internet. Le sujet va bien vous réjouir. Car la thématique est « la justice ».

Son titre (Tribunal : sous stupéfiants, sans attestation de sortie et le téléphone au volant) est évocateur.

Sachez que le journaliste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.

Il n’y a aucune raison de ne pas croire de la fiabilité de ces révélations.

Sachez que la date d’édition est 2022-09-02 22:07:00.

l’essentiel
En pleine séparation, la prévenue conduisait sous stupéfiant, un portable à la main et sans attestation. Elle a reconnu les faits invoquant une situation personnelle difficile.

À 49 ans C.A. n’en est pas à sa première condamnation en ce qui concerne notamment les stupéfiants. C’est pour une affaire qui date de 2020 qu’elle était de retour devant le tribunal correctionnel.

À la barre et une séparation d’avec un mari toxique plus tard, elle affirme en avoir terminé avec ses mauvaises habitudes. « Je reconnais les faits, j’étais en pleine séparation. »

Et la présidente de rappeler les faits. à la suite d’un contrôle, la prévenue n’avait pas présenté son attestation de sortie, obligatoire à ce moment-là, en raison de la pandémie. De plus, elle avait son téléphone au volant.

Lors du contrôle, elle s’est révélée positive aux stupéfiants. C.A. s’explique : « Je vidais mes affaires de la maison conjugale et j’avais laissé mon attestation sur un carton, dans le box. Pour le portable, j’étais en train de regarder l’heure ».

Concernant la cocaïne qu’elle avait consommée, elle a aussi une explication : « Je n’étais vraiment pas bien à ce moment-là et la veille, j’avais acheté quelque chose pour consommer. Je l’ai tout de suite regretté. J’ai eu des moments difficiles il y a une vingtaine d’années avec la drogue et je ne voulais pas retomber dedans, j’ai vu un médecin ».

Prise de conscience

Le procureur, Pierre Aurignac a pris acte volonté de la prévenue de s’en sortir : « Nous avons affaire à quelqu’un qui a pris ses dispositions par rapport à ses problèmes d’addiction aux stupéfiants. Je propose une amende de 800 euros, un stage de sensibilisation à la sécurité routière et six mois de suspension du permis de conduire, sans oublier les amendes liées aux infractions constatées ».

Selon Me Jacques Bertrand, pour La Défense de C.A., sa cliente était « très inquiète de cette situation par rapport à son activité professionnelle. Je vous joins des analyses faites à des dates différentes et je sollicite de votre tribunal d’être en accord avec M. le procureur et moi-même. Une demande à laquelle le tribunal a accédé en suivant les réquisitions du procureur.

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L’administration déconcentrée,A voir et à lire. . Disponible sur internet.

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