Voilà qui va vous satisfaire : Un nouvel article que je viens de identifier sur le web et que nous vous reproduisons ci-dessous. Le sujet est « la justice ».

Le titre suggestif (il faudra un procès sur la sécurité demandent les avocats) en dit long.

Identifié sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu pour d’autres textes qu’il a publiés sur internet.

Les révélations éditées sont de ce fait évaluées véridiques.

Sachez que la date de publication est 2022-10-10 00:43:00.

Voilà lle « papier » :

C’est une décision qui a été prise cet été par les avocats de l’association de victimes de l’attentat de Nice, Promenade des Anges : citer à comparaître François Hollande, à l’époque président de la République. « Un procès c’est comprendre et exiger la vérité, explique Maître Fabien Rajon, avocat de victimes. Cette exigence de vérité, c’est donc avoir les deux personnages au plus haut de l’État de l’époque : François Hollande et Bernard Cazeneuve, à l’époque président de la République et ministre de l’Intérieur« .

Invité sur France Bleu Azur ce lundi, Maître Fabien Rajon assure qu’il n’y a pas de volonté de porter des accusations ou de pointer les responsabilités de chacun, mais seulement de comprendre dans quel contexte a eu lieu ce drame en juillet 2016.

Consensus chez les parties civiles

Toutefois, Fabien Rajon approuve quand on lui demande s’il doit y avoir, dans un futur proche, un deuxième procès, qui aborderait les questions de sécurité autour du feu d’artifice. « Il y a un réel consensus chez les parties civiles sur ce sujet. Il y a cette volonté d’aller au bout des choses. Cela me parait nécessaire en effet, explique l’homme de loi. Je vais donc demander à François Hollande quel était le niveau de menace à l’époque« . Cette question sera certes posée ce lundi, mais ne répondra pas tout à fait aux autres questions des parties civiles, et notamment celle qui parle du dispositif mis en place ce soir là : était-il assez important ? 

« Il y a eu des failles […] On a eu suffisamment de douleur avec ces attentats pour imposer un examen de conscience à nos institutions et nos autorités. » – Virginie Le Roy, avocate des parties civiles

Virginie Le Roy, invitée également sur France Bleu Azur, enfonce le clou sur cette problématique. Pour l’avocate, la tenue d’un procès sur la sécurité est absolument nécessaire. « Il y a eu des failles, explique l’avocate des parties civiles. Un autre procès, c’est donc important. On a eu suffisamment de douleur avec ces attentats pour imposer, et même si c’est via une instruction pénale et un procès pénal, un examen de conscience à nos institutions et nos autorités« .   

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