Information pour les passionnés : « Une bêtise dont ils ont profondément honte », affirme l’avocat des deux invités

Nous exposons un nouvel éditorial qui va parfaire notre revue de presse sur « la justice ».

Le titre (« Une bêtise dont ils ont profondément honte », affirme l’avocat des deux invités) récapitule tout l’éditorial.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», le pigiste est positivement connu pour d’autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.

Ce texte peut donc être pris au sérieux.

Texte en question :

« Une bêtise dont ils ont profondément honte. » C’est ainsi que l’avocat Joris Van Cauter a décrit, mardi sur X (anciennement Twitter), les méfaits de deux invités qui ont uriné sur un combi de police lors de la fête d’anniversaire du ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open VLD) à la mi-août.

Durant la fête, plusieurs invités ont uriné sur un combi de la police garé à côté de la villa du ministre, sous protection depuis plusieurs mois. Révélés dans la presse, ces faits ont suscité une vive polémique. Vincent Van Quickenborne a répété à plusieurs reprises qu’il ignorait tout de ces comportements jusqu’à ce qu’ils sortent dans les médias. Or, selon un article de la VRT publié lundi soir sur son site internet, les images filmées par une caméra de surveillance laissent penser le contraire. Une interprétation « suggestive » démentie par M. Van Quickenborne.

Selon Me Van Cauter, ses clients ont immédiatement contacté la justice dès qu’ils ont eu connaissance de la polémique. L’avocat parle d’un « comportement stupide qui n’est pas criminel ».

« Ils n’avaient nullement l’intention de salir la police ou de détruire des choses. (…) Ils ont le plus grand respect pour l’État de droit et le rôle crucial que la police y joue », a indiqué Me Van Cauter dans son communiqué.

« C’est d’autant plus vrai que leur ami, le ministre de la Justice, et sa famille, ont été protégés par la police dans des circonstances difficiles. Il est très regrettable que leurs actions, dont ils sont seuls responsables » affectent aujourd’hui Vincent Van Quickenborne. « D’autant plus que cela s’est passé à son insu », a-t-il précisé.

Selon l’avocat, ses clients « semblent être les pions d’un jeu dans lequel d’autres intérêts sont en jeu », faisant peut-être référence aux relations tendues entre le ministre de la Justice et les syndicats de police.



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