Focus sur cet article : Procès des attentats à Bruxelles : la défense d’Abrini s’étonne de la motivation pour certains accusés

Voici l’essentiel d’un post que nous venons de remarquer sur le web. Le propos va positivement vous convenir. Car la thématique est « la justice ».

Son titre (Procès des attentats à Bruxelles : la défense d’Abrini s’étonne de la motivation pour certains accusés) parle de lui-même.

Le journaliste (présenté sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

L’éditorial peut par conséquent être pris au sérieux.

Sachez que la date de parution est 2023-07-25 17:05:00.

Voici ll’article en question :

Me Stanislas Eskenazi n’était pas étonné, mardi soir, du verdict de culpabilité rendu par le jury de la cour d’assises à l’encontre de son client, l’accusé Mohamed Abrini. « C’est ce que nous avions plaidé », a-t-il rappelé. Par contre, la motivation de l’arrêt l’« interpelle » quant au sort de certains accusés, a-t-il ajouté avec prudence.

Mohamed Abrini avait poussé son chariot chargé d’explosifs jusque dans le hall des départs à Zaventem, le 22 mars 2016. Il l’avait ensuite abandonné après la première détonation à 07h58, fuyant avant que la deuxième bombe n’éclate.

« Nous avions plaidé la culpabilité dès le départ, donc nous ne sommes pas étonnés » que l’homme au chapeau (surnom provenant du bob qu’il portait à l’aéroport ce jour et visible sur les images de caméras de surveillance) soit reconnu coupable.

« À partir du moment où le jury a parlé, c’est la vérité judiciaire et il faut la respecter. Par contre, pour certains accusés, il y a des motivations qui m’interpellent », a ajouté l’avocat. « Ce ne sont pas mes clients donc je laisserai à leurs avocats le soin de se prononcer. Mais certaines disparités dans la décision de culpabilité m’étonnent. »

Par exemple, le jury de la cour d’assises de Bruxelles a considéré que Sofien Ayari n’avait pas pris part aux attentats du 22 mars 2016. Pour le plus jeune des accusés, il a seulement retenu la participation aux activités d’un groupe terroriste. Par contre, les 12 jurés citoyens ont estimé que son compagnon de cavale Salah Abdeslam était, lui, coupable sur toute la ligne, donc non seulement de participation, mais aussi d’assassinats et de tentatives d’assassinat terroristes.

Le 15 mars 2016, soit une semaine avant les attentats, une fusillade avait éclaté entre les forces de l’ordre et les membres de la cellule logeant rue du Dries, à Forest. Mohamed Belkaid était mort dans l’assaut, tandis que le Tunisien et le Français avaient pris la fuite. Sofien Ayari et Salah Abdeslam avaient été arrêtés le 18 mars.

Depuis le début du procès, les avocats des deux hommes clamaient que ceux-ci n’avaient rien à voir avec les attentats bruxellois, puisqu’ils se trouvaient déjà derrière les barreaux le 22 mars 2016.

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Droit de l’exécution des peines 2007-2008,Ouvrage .

Justice aux Canadiens-Français !,A voir et à lire. . Disponible sur internet.

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