Sigrid Boysen ouvre la section avec sa critique du livre de Marie-Catherine Petersmann Quand la protection de l’environnement et les droits de l’homme se heurtent. Boysen trouve beaucoup de points d’accord avec le récit de Petersmann et loue particulièrement sa remise en question du « mantra de la synergie » selon lequel la protection des droits de l’homme et le droit international de l’environnement entretiennent une relation de soutien mutuel.
Nous passons à Prisca Feihle qui critique Alice Ollino Obligations de diligence raisonnable en droit international. Feihle offre un aperçu perspicace à la fois du livre et du concept « janus-faced » de diligence raisonnable dans le droit international actuel.
La critique de Feihle est suivie de celle de Sanna Lehtinenqui commence par le « phénomène culturel » qu’est le phénomène de Greta Gerwig Barbie film dans sa critique d’Emily Jones’ Théorie féministe et droit international : perspectives posthumaines. Lehtinen complimente les « approches combinées » adoptées par Jones dans le livre, qui « ont toutes une philosophie commune consistant à remettre en question le pouvoir, à démanteler et à repenser les structures de pouvoir dommageables », apportant ainsi une « nouvelle contribution » à la théorie juridique.
Enfin, Christian J. Tams avis Tommaso Soave’s Les créateurs quotidiens du droit international: un mélange inhabituel d’analyse académique et de « fiction plausible » qui présente aux lecteurs les personnes dans les coulisses – les greffiers et les assistants juridiques – qui font fonctionner l’appareil de la justice internationale, et met en lumière le fonctionnement interne des tribunaux internationaux et tribunaux.